
Le dossier est à la fois insurmontable et épineux, a-t-il dit, soulignant que le remboursement des dettes des individus ou des organisations ne relève pas des compétences de l’État.
Il était indispensable pour les gouvernements précédents d’intervenir pour solder ce problème avant qu’il n’atteigne ce niveau de complexité, a-t-il ajouté, affirmant toutefois que son équipe suit le problème avec intérêt et assumera ses responsabilités à ce sujet.
Cridem