Le savant Cheikh Mohamed Al-Hassan Ould Deddew a déclaré que ceux qu’il décrit comme des homosexuels, des déviateurs qui cherchent à briser les liens familliaux et à déconsiderer  les arbres généalogiques des populations » ne peuvent pas détourner notre société conservatrice par leurs appels malsaints , sous protextes de protection des droits des personnes vulnérables , des causes de la civilisation et de la modernité. « Cette déclaration de Ould Deddew est annocée dans une fatwaqu’il a émises concernant la loi sur le genre, dont le Parlement devrait discuter.
Cheikh Deddew a ajouté: « Le droit pénal mauritanien et le Code du statut personnel ne comportent pas de lacunes en matière de protection des femmes, d’injustice ou d’abus envers elles pour que cela nécessite l’adoption d’une nouvelle loi. En fait, cette loi n’est venue que pour répondre aux pressions des homosexuels, des depravés et de ceux qui cherchent à démanteler les liens familles et briser les arbres généalogiques des citoyens » .
Il a ajouté: « En conclusion, ces lois proposent des sanctions autres que celles que Dieu spécifie ou interdit, autorisent des choses que Dieu a proscrites ou interdisent des choses que Dieu a autorisées ».
La loi de Dieu est suffisante en elle. Elle  protége tous les droits, et s’oppose contre toute transgression restrictive des péchés et dommages, y compris l’injustice, la fornication, le harcèlement et d’autres péchés majeurs et abominations »
Cheikh Deddew a souligné dans sa fatwa que «la tutelle des femmes concernant leur mariage rentre dans le cadre de leur protection et leurs sécurité, car Dieu a insufflé en les pères et mères, l’amour pour leurs garçons et leurs filles et leurs intérêts et il n’y a aucune raison pour que d’aucunes autres parties interfèrent dans leurs affaires.
Et s’il existe des preuves d’injustice ou de violation au sein de la famille, la loi et le pouvoir judiciaire sont à l’affût, sans avoir besoin d’une nouvelle législation ».
Dans la fatwa, Cheikh Deddew a passé en revue les textes juridiques , pour en déduire qu ‘ »il n’est pas permis à quiconque de légiférer sur ce que Dieu n’a pas autorisé, ni de chercher à le décider, ni à le signer, ni à le voter , ni à participer à son approbation ».
Source : https://alakhbar.info/?q=node/26415
Traduit par adrar.info