
Ces retraités, partis de la société entre 2015 et 2019, ont déposé «1.200 plaintes contre la SNIM devant les inspections de travail et les tribunaux de première instance ou d’appel à Zoueirat et à Nouadhibou, selon Brahim Weissatt. Mais nous avons l’impression que les tribunaux n’osent pas contraindre la SNIM à nous verser nos droits ».
« Après avoir servi loyalement cette nation pendant 35 ans ou 43 ans, pour certains, notre pays nous abandonne dans la précarité absolue, alors que parmi nous, il y a des chefs de famille qui ne vivent que d’une pension de 900 Ouguiyas MRU, avec 3 mois d’attente pour l’avoir », indique le secrétaire général.
« Le président de la République est au courant de nos souffrances. Nous lui avions remis main à main notre dossier. Il avait promis de régler la question, mais en vain », regrette Brahim Weissatt.
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